Mardi 19 août 2008 à 22:41


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E
n ce moment, il y a mon Amoureuse assise en culotte sur ma chaise de bureau, chez moi, à l'Appartement-Merveille. Je sais, c'est juste un tout petit peu de l'Impossible-Vrai et je suis pas en train de mourir sur mon canapé, nonon.

Rendez-vous, n'importe où, tant qu'on continue de s'aimer au delà de tout et qu'on fabrique des ailes Gigantesques à nos rêves de Pas-Grandir, des rêves de Géantes-Minuscules en éclats de rire et de couleurs, des rêves pour respirer, pour tomber dans l'immensité du Ciel, pour Vivre, tout bêtement.
Margot Margot Margot. Trois fois parce qu'on sait pourquoi. Une Folie des Spaghettis pour te dire comme je t'aime, que les frontières allemandes ne me font même pas peur, que j'ai de l'amour d'épistolaire à revendre pour ta nouvelle adresse que je finirai par savoir par coeur, j'ai peur de rien avec toi.

 

Mardi 24 juin 2008 à 17:42

Se construire des forteresses dans le ciel, s'inventer des Rêves de carton pâte et de papier mâché.
Avoir le coeur qui s'affole, manquer d'air et pourtant sentir ses respirations plus profondes, avoir le corps entier qui tremble, des sursauts-frissons sous la peau et le rose aux joues. Jouer une partition inconnue, écouter les notes à reculons. Danser sur un fil, sans filet, s'accrocher à ses refuges de nuages et ses doitgs qui racontent, et faire de mes doutes des avions de papier.
Mourir pour des vertiges qui ne pourront jamais naître.

Dimanche 15 juin 2008 à 16:18



Entre les pages d'un carnet se perdre et ne plus retrouver le chemin des mots. Être fatiguée de rester sur le bord de la route, à attendre qu'ils reviennent. Je voudrais ôter cette peau de frissons, de maladresses, cette peau humide sous laquelle s'agglutinent des mots fragiles, des mots flous, des inachevés. Enfiler une laine pour les réchauffer. Les garder à l'abri, comme dans un nid de coton. Pour en finir avec ces mots trop frêles pour être prononcés, posés sur le papier. Je voudrais des mots qui éclosent en pleine lumière. Qui n'ont pas peur d'exister, d'habiter le papier en petits caractères, d'habiller le papier comme de la dentelle d'émotions. J'aimerai raconter des histoires. Savoir donner corps aux souvenirs. Les réveiller sous une douce lumière et leur redonner leur saveur. Des souvenirs de mes dix ans. Des souvenirs de Pas-Grandir pour donner tord au temps qui file si vite. Des histoires de Fées, de paillettes dans les cheveux, de métaphores, des histoires d'Amour d'éternité, des histoires d'éclats de rire accrochés aux nuages. De la légèreté un peu.


Mardi 10 juin 2008 à 11:45


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Aujourd'hui, Pacôme a trois ans.
Ca en fait des articles à la pelle, des cris, des lamentations, des éclats de rire, des envolées merveilleuses et des rencontres magiques.
Ca en fait des Majuscules.
Pacôme a trois ans, et derrière elle des envies de vélos, des déménagements, des coutures de Fées, des nouvelles aventures, de Doudous tous doux , des endroits magie et des Amours plein les poches.
Trois ans de babillage. Trois ans de Fées, trois ans d'épistolaire, de surprises, de pour-toujours, de photos colorées.
Trois ans de mots à maux murmurés, hurlés, pleurés, chantés, souris. Du Grand N'importe Quoi en somme, mais pas n'importe lequel. Un de ceux qui envolent, qui transportent, qui font rêver, qui fabriquent des idées folles. Du Grand N'importe Quoi qui n'en finit pas.

Trois ans et un bout de tricot toujours aussi doux, une marque déposée à l'INPI, un Amour dans la feutrine, une Qui-ne-s'attrape-pas, une Âne-à-ailes-Bout-de-Ciel, une d'Ailes-fines, des Amours inébranlables, des béquilles magiques. Mes Enfants des Fées, mes Toujours-Là. Mes Peter Pan. Mes Pas-Grandir.
 
Trois ans et ça continue !
 


 

Samedi 31 mai 2008 à 0:27


Un jour, pas quand je serai grande, mais quand j'aurai un nombre raisonnable de printemps derrière moi, j'aurai une petite fille, une petite Louise au visage pailleté de taches de rousseur, au sourire qui envole et aux cheveux qui jouent à cache-cache avec le soleil. Je lui apprendrai les Fées, la Magie, je lui apprendrai les Mots, les Livres, l'épistolaire aussi, je fabriquerai pour elle un monde de Majuscules, je déroulerai sous ses pieds un chemin auréolé d'amour, je lui bricolerai des Doudous à emporter partout, à cacher dans son cartable ou sous son oreiller, on fera des gâteaux et on se mettra du chocolat plein les doigts, elle sera ma Paire d'Ailes et ce sera un amour d'éternité.

Et je lui Raconterai, un jour, une autre Louise, la plus belle du monde, de toutes, celle qui m'a envolée, celle qui m'accroche aux étoiles, une Louise Clignotante de Merveilles. Je lui Raconterai pourquoi elle porte le plus joli prénom du monde.
(...)

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