Dimanche 27 janvier 2008 à 19:17
C'était tout simplement Grandiose et j'ai encore du mal à m'en remettre.
Défilé magique. Je n'ai pas de mots. Je.
C'est comme si ces Magiciens me montraient le chemin, comment vous dire ? Comme si ils avaient cette vie dont je Rêve un peu, depuis toujours, peut-être, ce genre de vie Magique. Comme si ils me disaient que c'est possible.
Que je vais y arriver. Que ce n'est pas qu'un Rêve.
Jeudi 24 janvier 2008 à 19:00
Si je vous dis que j'ai encore croisé une Fée comme ça par hasard, au fil des mots, et que je meurs rien que de penser qu'elle se trouve dans la boîte mail ? Encore une autre. Comme si je n'étais pas assez gâtée comme ça ?
Je n'en reviens pas, peut-être que j'ai des Marraines Fées par centaines qui se sont penchées sur mon berceau et qui m'ont destinée à tomber à Moureu de bouts de Ciel, de Paires d'Ailes, d'Impossible-Vrai, de Coïncidences, d'Epistolaires. De Fées.
Je n'en reviens pas. D'avoir un chemin parsemé de tant d'étoiles.
Je me sens pousser des Ailes.
Mardi 22 janvier 2008 à 21:50
Ce week-end-samedi-après-midi c'est le défilé des Magiciens. Je les ai vus jeudi ça m'a fait tout chose plaisir sourire tout ça. Même qu'ils étaient contents de me voir. Même qu'ils m'ont donné une invitation pour admirer leur nouvelle collection. Même que Rafael il est gentil il veut m'aider pour confectionner les vêtements de ma collection de BTS. Il sera drôlement plus doué que Mme C. Et puis, je ne lui ai pas encore demandé, mais j'aimerai bien qu'il soit le photographe de ma collection. Vous imaginez ?! Un Magicien pour prendre mes vêtements en photo ! J'ose pas lui demander. Je pétoche. Rafael, il sourit tout le temps il me fait rire et son accent espagnol est délicieux en plus il sait plein de choses et il aime beaucoup mes illustrations. Alexandre il est adorable aussi il m'a dit que je n'avais pas à m'en faire pour ce fichu BTS, que j'avais du talent qu'il s'en faisait pas pour moi et aussi qu'il attend que je lui montre mes illustrations. Non mais y'a des fois je me rends pas bien compte. Je me pince, je me dis, deux Magiciens comme ça qui sont là pour t'aider, deux Magiciens avec qui tu as partagé des moments merveilleux. C'est fou un peu.
J'ai hâte de voir le défilé, les colocs sont jajas parce-qu'elles seront pas là. En tout cas, moi je vais me régaler.
Lundi 21 janvier 2008 à 19:04
Je crois que personne n'a effleuré le Paradis du doigt tant qu'il n'a pas fait naître un sourire sur le visage d'une Fée.
Vous allez être jaloux, mais j'ai deux Fées bien à moi. Des Belles, les plus Belles qui soient, Hautes-en-Couleurs, des Fées aux mots Magiques, des Fées-Doudou, des Fées-Coïncidence. Des Fées-Vrillées. Vacillantes parfois.
Et je suis au Paradis chaque minute à cause d'elles, je pourrais bien mourir d'Amour pour elles tellement elles me font valser au delà des étoiles. C'est si doux, de savoir ce Réconfort, là, cette présence feutrée, même dans ces Absences qui n'en sont pas vraiment, si doux de pouvoir s'abandonner à elles complètement !
Et puis on a nos petits secrets de Fées. Des confidences, des histoires et des Rêves qu'on se découpe dans du joli papier, ou cousu dans les tissus les plus doux du monde. De l'Amour dans de l'Epistolaire aussi.
Vous n'imaginez pas comme c'est Merveilleux, d'aimer comme ça.
Je n'en reviens pas de ma chance. Je vole, je suis Peter Pan, je décolle et je touche plus jamais terre. Jamais.
Et je suis au Paradis chaque minute à cause d'elles, je pourrais bien mourir d'Amour pour elles tellement elles me font valser au delà des étoiles. C'est si doux, de savoir ce Réconfort, là, cette présence feutrée, même dans ces Absences qui n'en sont pas vraiment, si doux de pouvoir s'abandonner à elles complètement !
Et puis on a nos petits secrets de Fées. Des confidences, des histoires et des Rêves qu'on se découpe dans du joli papier, ou cousu dans les tissus les plus doux du monde. De l'Amour dans de l'Epistolaire aussi.
Vous n'imaginez pas comme c'est Merveilleux, d'aimer comme ça.
Je n'en reviens pas de ma chance. Je vole, je suis Peter Pan, je décolle et je touche plus jamais terre. Jamais.
Vendredi 18 janvier 2008 à 18:31
Partout, à Londres, j'ai cherché un Carnet. Un digne de ce nom. Un pas trop grand, pour ne pas me perdre dedans et avoir le vertige de tant de vide à remplir, mais pas petit non plus. Parce-que les pattes de mouches ça se relis pas. Ca se Lit pas, tout simplement.
J'ai cherché, partout, j'en ai feuilleté des doux, des colorés, j'en ai vu de belles couvertures, mais pas encore assez jolies. Ou si, jolies, mais qui ne parlent pas. Il fallait un Carnet, qui donne envie d'y écrire, parce-que quelque part, son enveloppe raconte déjà. J'ai fouillé, dans les petites boutiques, dans les grandes, je n'ai pas eu de coup de coeur.
Il fallait un Carnet, vous savez, avec des pages douces au toucher, pas de lignes, ou très pâles alors, ou des pages recyclées, qui ont cette odeur, qui sont toutes fines, on dirait des ailes de libellules.
Je voudrais un Carnet, pour retrouver ce plaisir et cette sensation d'apaisement qu'on a à écrire sur du papier, je voudrais retrouver ces vertiges, ces battements de coeur quand on couche au fil des pages des mots qui semblent s'envoler. Je voudrais un Carnet qui me ressemble, ce qu'il faudrait, c'est que j'en découpe un dans mon ombre peut-être, ça serait comme un bout de moi, je pourrais m'y perdre, en m'y sentant à l'aise. Et puis, ça guérirait les mots cassés, les mots fâchés, les mots durs, un Carnet découpé dans une ombre. Pour faire le deuil de mes Désillusions parfois.
Ou alors, un Carnet découpé sous ma peau, que j'y dépose mes frissons. Ma chair de poule. Mes rougeurs. Mes sourires ou mes seaux de larmes. Mes cailloux parfois.
Il me faut un Carnet, je n'en peux plus de n'écrire que sur des pages volantes qui n'ont aucun sens, ou pire, de ne pas écrire du tout. J'ai envie d'Ecrire. Mes doigts qui fourmillent on dirait qu'ils crient, ils en ont assez du clavier. Ils veulent du papier.
Il me faut un Carnet.