Mardi 30 janvier 2007 à 18:25


Je crois que le mercredi, c'est comme le lundi.
C'est pourri.


A moins d'avoir une poele en fonte.

Je rêve d'entendre le bruit que ça ferait si je tapais un bon coup derrière la tête de.
Pour ma propre sécurité, je ne citerai personne.
Cela dit, je prémédite.

 

 

Jeudi 25 janvier 2007 à 23:56

 

Je travaille un coup par ci, un coup par là, un coup de blues par ci, un autre par là, des exclamations trop bruyantes pour être crédibles mais tout le monde tombe dans le panneau même s'il y en a qui savent que c'est pour de faux. Et puis une bouffée d'air, une remontée furtive à la surface, et c'est reparti dans l'autre sens, coup de blue, coup de gueule, un entre deux qui n'en finit plus, mais sans tirets nulle part parce que rien ne se lie, rien ne s'accroche, à part mon cafard qui n'en finit plus de faire des siennes et vous me manquez à un point c'est fou j'ai l'impression de n'être ni ailleurs ni ici je suis coincée entre des parenthèses et les virgules ont foutu l'camp.

Mardi 2 janvier 2007 à 14:00

 

Je voulais vous dire, que malgré tout, même si la mélancolie d'un ciel gris de janvier me prend le ventre comme à vous, que de toute cette année, c'est Vous mon soutient inébranlable.
La seule chose, en dehors de l'appui de ma famille, qui m'ait souri cette année, c'est Vous.
Si je dois retenir une dose de bonheur, c'est Vous.
La seule chose inaltérable, version on-ne-peut-pas-me-l'arracher, c'est Vous.
Alors je vais vous dire une chose, avec mes mots maladroits comme j'ai jamais vu, avec mes mots cassés, en vrac, amochés comme pas deux, Vous êtes la seule chose qui valait la peine de vivre cette année.
Et pourtant il s'en est passé des choses, entre mon bac, mon déménagement, ma toute fraîche autonomie.
Mais ce que je retiens, c'est vous trois, mes clignotants, mon coquelicot, mon supplément de vie.

Je patauge, à grands moulinets, mais cahin-caha, le message est passé.
Je vous aime plus que je ne saurais le dire, toutes autant que vous êtes, espèces de merveilleuses.
Avec nos hauts et nos bas, nos absences et nos trop plein de mots, nos secrets et nos actes manqués.
Une vie rythmée par des enveloppes colorées. Des apparitions furtives au bas d'un article. Des couinements de rotin. Des chansons sur un répondeur. Un pot de coquelicot sur un coin de bureau.

Mes Fées Toujours-Là.

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