Se construire des forteresses dans le ciel, s'inventer des Rêves de carton pâte et de papier mâché.
Avoir le coeur qui s'affole, manquer d'air et pourtant sentir ses respirations plus profondes, avoir le corps entier qui tremble, des sursauts-frissons sous la peau et le rose aux joues. Jouer une partition inconnue, écouter les notes à reculons. Danser sur un fil, sans filet, s'accrocher à ses refuges de nuages et ses doitgs qui racontent, et faire de mes doutes des avions de papier.
Mourir pour des vertiges qui ne pourront jamais naître.
Mardi 24 juin 2008 à 17:42
Commentaires
Par Jeudi 26 juin 2008 à 13:22
le C'est tellement doux quand tu t'escapades entre les mots, quand tu nous prends par la main et qu'on s'enfuit avec toi dans le pays des Fées, qu'on en prend plein les yeux, que tu nous inondes de poudre magique, quand tu brodes la poésie de ton coeur entre les lettres, les respirations et les virgules, quand tu ouvres le rideau du théâtre et que le paysage est immense, vaste, coloré, que le ciel est infini et han, tu es la plus belle promenade qui soit. Tu es une Magicienne, JE T'AIME.
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alice