Mercredi 16 janvier 2008 à 0:23

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A fleur de peau, on a des émotions qui courent partout sous la peau, on a les sentiments qui menacent de déborder à chaque instant, on cherche à tout retenir. Endiguer le flot.
Les émotions, on les cache. Ca ne doit pas sortir.
L'envers du décor en quelque sorte. Ce qu'il y a derrière. Derrière la peau. Ou plutôt
dedans.
Ici, c'est le moment où, fatiguées d'avoir parcouru le corps en tous sens, les émotions se décident à respirer à l'air libre, à percer la peau pour fleurir.
Ici, c'est le moment où les émotions s'épanouissent hors du corps, à même la peau.
 

Dimanche 13 janvier 2008 à 23:00




Des Rêves qui me courent sous la peau en cherchant le moyen d'exploser à l'air libre. De respirer pour de vrai. En attendant ça me parcoure de part en part.
Je les laisse courir. Même si ça gratte.
Je sais qu'ils trouveront le chemin.
Un jour ou l'autre.


Dimanche 13 janvier 2008 à 16:45


Des fois y'a des révélations qui débarquent, paf ! comme ça l'air de rien on s'y attendait pas et après pourtant on se dit que c'est d'une évidence on se demande comment on n'y a pas pensé plus tôt.
Ca pianote dans le bout des doigts, ça fourmille, on a envie d'attrapper un stylo, de croquer, d'écrire, de noter tout ça, ce déferlement de pensées qui n'en finissent plus de fiche le bazar dans la tête. Mais ça tourne, ça tourne, si vite tout ça, pas un instant de répit.
Les idées, on sent bien quand c'en est des bonnes. Quand on a un peu peur de les partager, parce-que oui elles comptent beaucoup pour nous, même, elles nous dévorent de l'intérieur, nous consumment, nous font avancer. Un pied devant l'autre, un pas après l'autre.
L'Idée en Majuscule, on a envie de la protéger, pour pas qu'elle éclate, s'envole et disparaisse.
On a envie de l'installer bien au chaud dans du coton. Un nid douillet, un cocon. De l'arroser, avec amour, et patience, d'attendre qu'elle se mette à pousser. On la nourrit comme on peut. Avec des sourires, des mots doux, des morceaux de nuages, du chocolat, ou de la pâte d'amande, des larmes, de l'aquarelle, des caresses. Tout ce qui nous Habite.

Et puis, on tend un fil d'or entre nos Rêves et son cocon de coton, on l'emporte partout, jusqu'au fond de la nuit, on la veille le plus tendrement du monde, on ne vit plus sans elle, elle fait partie de nous.


J'ai une Idée-Majuscule, depuis quelques jours. Que je partage avec une Fée.
Une Idée d'Impossible-Possible-Vrai.

Même que ça me fait des frissons partout sous la peau.



Dimanche 13 janvier 2008 à 13:47



Enfin rentrée de Londres. Maintenant, au boulot.
A dans cinq mois. Quand j'aurais mon BTS. AHAH.




Lundi 7 janvier 2008 à 17:15


Cette fois, c'est pour de bon, plus question de se planquer, de buissonner, de fiche le camp, d'espérer des retardements des problèmes techniques tout ça, demain matin levée cinq heures - Paris s'éveille - et partie de l'autre côté de la Manche. J'ai les boules les boules les boules comme des cailloux.
Pas de télécommunications pendant cinq jours. Pas de essémesses, ni de aiméssène, ni de coups de fils. Pas de Boubou chaque soir. Pas de Boubou le weekend qui arrive. Merci qui ? Merci le voyage qu'on rentre le samedi tard tard tard et que du coup Boubou peut pas se coltiner l'aller et le retour dans le dimanche.
Trop coule ma vie.

Je vous dis adieu, des fois que je me fasse renverser par un bus à impériale parce-que j'ai encore pas calculé qu'il fallait regarder de l'autre côté de la route parce-que oui ils font jamais comme tout le monde à rouler dans le mauvais sens.



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