Tes bras, le sucré de ton sourire, ta tête contre mon épaule et tes promesses de pour-toujours ? Serre-moi plus fort, je sens que je tombe. Est-ce qu'un jour tu me laisseras entrer en toi, découvrir tes détours et t'apprendre par coeur ? J'ai peur peur peur, peur de rien, du vent, je le sais, c'est du vent tout ça, je t'invente des histoires qui n'existent pas et ça me fait voler en éclats. Apprends-moi à avoir moins peur, apprends-moi ta liberté, tes petites escapades, tes évasions sans moi. Apprends-moi, je veux voler de mes propres ailes, j'ai peur de ne vivre que pour toi tu comprends ? Tu es mon vertige le plus fou, mes montagnes russes, tu me rendras folle. Parce qu'il y a ta main dans la mienne, ton souffle comme un murmure quand tu t'endors, les paillettes au coin de tes sourires et ce parfum d'évidence qui te colle à la peau, je t'aime trop, je t'aime comme une enfant, trop grand, trop fort, trop tout.
Mercredi 17 mars 2010 à 11:03
Tes bras, le sucré de ton sourire, ta tête contre mon épaule et tes promesses de pour-toujours ? Serre-moi plus fort, je sens que je tombe. Est-ce qu'un jour tu me laisseras entrer en toi, découvrir tes détours et t'apprendre par coeur ? J'ai peur peur peur, peur de rien, du vent, je le sais, c'est du vent tout ça, je t'invente des histoires qui n'existent pas et ça me fait voler en éclats. Apprends-moi à avoir moins peur, apprends-moi ta liberté, tes petites escapades, tes évasions sans moi. Apprends-moi, je veux voler de mes propres ailes, j'ai peur de ne vivre que pour toi tu comprends ? Tu es mon vertige le plus fou, mes montagnes russes, tu me rendras folle. Parce qu'il y a ta main dans la mienne, ton souffle comme un murmure quand tu t'endors, les paillettes au coin de tes sourires et ce parfum d'évidence qui te colle à la peau, je t'aime trop, je t'aime comme une enfant, trop grand, trop fort, trop tout.
Mardi 16 mars 2010 à 19:30
Je n'arrête plus de dessiner, il me faut mes crayons mes feutres, assise par terre devant la télé à côté d'Amoureux qui farfouille sur l'ordinateur, il me faut mes ptites bouilles d'enfants à colorer, des joues roses à leur inventer, et des guirlandes, des ballons, des. Que ça fait du bien, de retrouver le chemin des histoires dessinées sur le papier !
( Oh, et si vous les trouvez chouettes certaines illus sont en vente sur la boutique ! )
Dimanche 14 mars 2010 à 19:41
Ouvrir ses cadeaux le soir de Noël - découvrir un timbre prometteur dans la boîte aux lettres - lui faire un baiser dans le cou - lécher les plats quand on fait un gâteau - jeter des confettis partout - se dessiner des moustaches en chocolat - sauter sur le lit en ptite culotte - découvrir un secret - fabriquer un doudou - se déguiser en princesse - être bien à l'abri sous son parapluie quand il pleut - chanter comme une casserole - se mettre des paillettes plein les joues - gonfler des ballons - construire une cabane d'enfant - serrer Nounours pour s'endormir - éclater de rire sans raison - sauter sur les passages piétons - respirer un de ses T-shirts - faire des photomatons - jouer à cache-cache - se réveiller d'un cauchemar et l'entendre respirer à côté ...
Vendredi 12 mars 2010 à 10:37
Tes lèvres à mon oreille et ton souffle qui me murmure que tu m'aimes, tu m'aimes, tu m'aimes, encore et encore, des vagues d'amour au creux du ventre quand tu me dis que je suis un trésor, et que tu m'appartiens, toujours. Ton corps tout contre moi j'entends ton coeur qui bat la mesure, j'ai envie de dessiner des oiseaux sur tes épaules, de toutes minuscules petites plumes glissées entre les paillettes de ta peau pour t'envoler. C'est fou de s'aimer si fort, à quoi on joue ?
Moi je joue à te faire devenir frisson, je joue à tendre un fil entre ton coeur et le mien, je joue à t'attachatouiller à moi pour toujours. Je joue à l'enfant qui t'aime jusqu'en haut des escaliers, j'ai envie d'aller au bout du monde avec toi, jusqu'au bout du ciel. A l'aventure.
"Et entendre ton rire qui lézarde les murs, qui sait surtout guérir mes blessures"; te rencontrer aura été la plus belle évidence de ma vie.
Mardi 9 mars 2010 à 14:10
( Embrasser tes taches de rousseur, tes sourires d'enfant et avaler les bêtises que tu racontes sans cesse pour me faire rire, petites gourmandises. Mon baiser-caché, il est à toi pour toujours, comme un secret, comme une évidence.)