( A Strasbourg il y a mille rues trop chouettes, avec des noms mignonnets, de quoi commencer une belle collection ! )
Lundi 1er février 2010 à 17:58
( A Strasbourg il y a mille rues trop chouettes, avec des noms mignonnets, de quoi commencer une belle collection ! )
Mardi 26 janvier 2010 à 11:27
Il y a un an je naissais entre tes bras, et depuis ce jour je n'ai plus jamais froid puisque tu es là. Puisqu'on se dessine des sourires au quotidien, qu'on s'invente de nouvelles histoires chaque jour, et qu'on n'en finit jamais de retomber amoureux. Mon Evidence, c'est si doux de dérouler le fil des jours avec toi, de se bricoler une vie à deux pleine de surprises, je n'ai jamais été aussi heureuse que depuis que tu es entré dans ma vie, que tu sèmes des étoiles filantes sous mes paupières et des frissons sous ma peau, toujours. Tout avec toi à un goût de premier rendez-vous, de sourires immenses comme des arcs-en-ciel. Allez viens, entremêle ton coeur au mien, pour toute la vie et toutes celles d'après, je ne veux que toi mon Pacôme, ma plus belle histoire c'est toi.
Samedi 23 janvier 2010 à 16:09
I don't wanna play hide and seek anymore.
Vendredi 22 janvier 2010 à 11:49
Pourquoi est-ce que tu fuis toujours loin, si loin ? Est-ce que tu as peur de comme je t'aime, est-ce que tu as la trouille de t'attacher-serrer ?
Pourtant ça fait si longtemps qu'on s'évidence, toi et moi, si longtemps qu'on s'enroule de magie et de sourires. Peut-être que j'ai eu tord de croire que je t'avais attrapée, de croire qu'on pouvait se colorier le coeur pour toujours. Il y a toujours une tempête qui se cache sous le ciel bleu, il suffit de s'accrocher à la bouée et d'essayer de ne pas boire la tasse. Je veux bien te trouver la plus grande et la plus chouette bouée qui existe, verte à pois rouges, tu te rappelles ? Te sortir la tête de l'eau aussi souvent que tu le demanderas, plonger à mille lieues sous les mers pour te remonter à la surface, ça ne me fait pas peur. Est-ce que tu sais au moins que je ne t'oublie pas une seule seconde ? Que je tourne en rond depuis qu'on s'absente, que je m'ennuie à mourir sans tes éclats de rire qu'il me semble entendre comme une envolée d'oiseaux même à travers l'écran ?
Reviens, parle, dis moi quelque chose, je t'en prie. Tu me manques comme un trou dans mon plancher qui n'en finit jamais de grandir, putain ça penche, on voit le vide à travers les planches, j'ai peur de me casser la figure, est-ce que tu seras en bas pour me rattraper ? Pour nous rattraper ?