J'ai le souvenir fugace de ta peau sous mes paumes, et ton odeur enfouie dans mon oreiller. Tu as repris la poudre d'escampette et fais tes valises, et pourtant tu es là, tellement là, dans chacun de mes songes, dans chacun de mes souffles. Quelques jours à apprivoiser à nouveau tes sourires, à me perdre dans tes yeux comme si c'était la première fois. Tes murmures au creux de mon oreille m'ont donné des ailes, je ne t'ai jamais tant aimé que dans ces retrouvailles timides et maladroites, tes regards émerveillés et tes étreintes à me couper le souffle. Les paillettes au bord de tes cils et ton air d'éternel enfant, les fossettes et les baisers cachés aux coins de tes sourires, ta voix comme du velours et tes tâches de rousseur en feu d'artifices sont cousus derrière mes paupières comme les plus beaux des trésors, je ne vois que toi quand je ferme les yeux. Il a suffit que tu glisses ta main dans la mienne et que tu poses un baiser sur ma nuque pour que je me sente trembler toute entière, tu as fait vaciller mes remparts et gravi une à une les marches qui mènent à la forteresse d'amour que j'ai bâtie pour toi. Il est là sous nos pieds, le chemin qui mène au bonheur, promenons-nous en douceur, la vie commence à peine. Et elle commence avec toi.
Mercredi 14 juillet 2010 à 19:34
Les Bidous sont en ligne sur la boutique, habillés de leurs superbes couleurs d'été (tissus tout droit venus d'allemagne, série limitée les choupinous). Ils me font craquer, je les adore, je sais pas comment je vais faire quand je vais devoir m'en séparer. J'ai envie de les installer tous en brochette-mignonnette dans mon lit de Princesse et de leur raconter des histoires, de leur donner des ptits noms en sucre et de les câliner. Je deviens gaga, au secours.
Dimanche 11 juillet 2010 à 21:15
( Le bonheur ne s'écrit pas il paraît, moi je le respire dans la paresse d'un dimanche après-midi les pieds dans l'herbe, quelques nuages-coton pour habiller le ciel, des crayons de couleur et une copine à croquer, et du soleil comme s'il en pleuvait. )
Vendredi 9 juillet 2010 à 1:13