Des fois y'a des révélations qui débarquent, paf ! comme ça l'air de rien on s'y attendait pas et après pourtant on se dit que c'est d'une évidence on se demande comment on n'y a pas pensé plus tôt.
Ca pianote dans le bout des doigts, ça fourmille, on a envie d'attrapper un stylo, de croquer, d'écrire, de noter tout ça, ce déferlement de pensées qui n'en finissent plus de fiche le bazar dans la tête. Mais ça tourne, ça tourne, si vite tout ça, pas un instant de répit.
Les idées, on sent bien quand c'en est des bonnes. Quand on a un peu peur de les partager, parce-que oui elles comptent beaucoup pour nous, même, elles nous dévorent de l'intérieur, nous consumment, nous font avancer. Un pied devant l'autre, un pas après l'autre.
L'Idée en Majuscule, on a envie de la protéger, pour pas qu'elle éclate, s'envole et disparaisse.
On a envie de l'installer bien au chaud dans du coton. Un nid douillet, un cocon. De l'arroser, avec amour, et patience, d'attendre qu'elle se mette à pousser. On la nourrit comme on peut. Avec des sourires, des mots doux, des morceaux de nuages, du chocolat, ou de la pâte d'amande, des larmes, de l'aquarelle, des caresses. Tout ce qui nous Habite.
Et puis, on tend un fil d'or entre nos Rêves et son cocon de coton, on l'emporte partout, jusqu'au fond de la nuit, on la veille le plus tendrement du monde, on ne vit plus sans elle, elle fait partie de nous.
J'ai une Idée-Majuscule, depuis quelques jours. Que je partage avec une Fée.
Une Idée d'Impossible-Possible-Vrai.
Même que ça me fait des frissons partout sous la peau.
Ca pianote dans le bout des doigts, ça fourmille, on a envie d'attrapper un stylo, de croquer, d'écrire, de noter tout ça, ce déferlement de pensées qui n'en finissent plus de fiche le bazar dans la tête. Mais ça tourne, ça tourne, si vite tout ça, pas un instant de répit.
Les idées, on sent bien quand c'en est des bonnes. Quand on a un peu peur de les partager, parce-que oui elles comptent beaucoup pour nous, même, elles nous dévorent de l'intérieur, nous consumment, nous font avancer. Un pied devant l'autre, un pas après l'autre.
L'Idée en Majuscule, on a envie de la protéger, pour pas qu'elle éclate, s'envole et disparaisse.
On a envie de l'installer bien au chaud dans du coton. Un nid douillet, un cocon. De l'arroser, avec amour, et patience, d'attendre qu'elle se mette à pousser. On la nourrit comme on peut. Avec des sourires, des mots doux, des morceaux de nuages, du chocolat, ou de la pâte d'amande, des larmes, de l'aquarelle, des caresses. Tout ce qui nous Habite.
Et puis, on tend un fil d'or entre nos Rêves et son cocon de coton, on l'emporte partout, jusqu'au fond de la nuit, on la veille le plus tendrement du monde, on ne vit plus sans elle, elle fait partie de nous.
J'ai une Idée-Majuscule, depuis quelques jours. Que je partage avec une Fée.
Une Idée d'Impossible-Possible-Vrai.
Même que ça me fait des frissons partout sous la peau.
Pacôme, une Idée-Folle.
Et dans ma tête ça fait comme une pelotte pleine de noeuds ça part dans tous les sens ça explose ça crie de joie ça valse et je cherche le bout de la pelotte, il y en a partout-partout-partout des bouts il faudrait trouver le bon mondieu chercher au milieu de ces éclats de rires c'est un truc à vous rendre Fou, tu es mon Idée la plus Folle&Saugrenue comme tous les Cahiers de la Marelle-Edition, Pacôme on est ensemble pour la vie pour de vrai, toujours coûte que coûte on ne se lâche pas tu me le jures ? Je veux hurler chaque fois que ta Folie dépasse les bornes, être heureuse avec un sac poubelle dans les mains, je veux m'envoyer dans le décor avec toi, confectionner des nids à Projets dans du coton tout doux comme pour faire pousser des lentilles de Rendez-vous n'importe où, ma Lentille Corail, mon Secret Immense, mon Amour sans limite, mon Affection sans borne, mon Sentiment Eternel.