Lundi 7 janvier 2008 à 17:15


Cette fois, c'est pour de bon, plus question de se planquer, de buissonner, de fiche le camp, d'espérer des retardements des problèmes techniques tout ça, demain matin levée cinq heures - Paris s'éveille - et partie de l'autre côté de la Manche. J'ai les boules les boules les boules comme des cailloux.
Pas de télécommunications pendant cinq jours. Pas de essémesses, ni de aiméssène, ni de coups de fils. Pas de Boubou chaque soir. Pas de Boubou le weekend qui arrive. Merci qui ? Merci le voyage qu'on rentre le samedi tard tard tard et que du coup Boubou peut pas se coltiner l'aller et le retour dans le dimanche.
Trop coule ma vie.

Je vous dis adieu, des fois que je me fasse renverser par un bus à impériale parce-que j'ai encore pas calculé qu'il fallait regarder de l'autre côté de la route parce-que oui ils font jamais comme tout le monde à rouler dans le mauvais sens.



Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://pascommelesautres.cowblog.fr/trackback/2393338

 

<< Je veux que les fées existent | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | j'y crois, j'y crois ! >>

Créer un podcast