Deux petits jours, et je saute au cou de mes copinettes, je leur lance des confettis et des paillettes et des ballons et des couleurs dans tous les sens. Un weekend de fées pour rire, chanter et s'amuser, se raconter des secrets en faisant des cupcakes, faire les gamines et boire des diabolos fraises, manger des bonbons et faire des bulles de savons. Être ensemble et c'est tout. Deux jours de fête et de magie pour s'apprivoiser à ne plus vouloir se quitter, mettre un peu de poésie dans nos vies. Vite vite vite, j'ai hâte de vos sourires et vos airs de Coloriées, hâte de vous faire des surprises de Pas-Grandir !
Mercredi 11 août 2010 à 20:13
Deux petits jours, et je saute au cou de mes copinettes, je leur lance des confettis et des paillettes et des ballons et des couleurs dans tous les sens. Un weekend de fées pour rire, chanter et s'amuser, se raconter des secrets en faisant des cupcakes, faire les gamines et boire des diabolos fraises, manger des bonbons et faire des bulles de savons. Être ensemble et c'est tout. Deux jours de fête et de magie pour s'apprivoiser à ne plus vouloir se quitter, mettre un peu de poésie dans nos vies. Vite vite vite, j'ai hâte de vos sourires et vos airs de Coloriées, hâte de vous faire des surprises de Pas-Grandir !
Jeudi 10 juin 2010 à 21:41
Je n'aurais jamais cru qu'un jour je fêterai un anniversaire de pascommelesautres avec toi, Melle Clignotante.
Descendre de l'avion et suivre ton messager au ballon rose étoilé, laisser mon regard se perdre au fil de l'eau, grimper tes escaliers, mourir de trouille devant ta porte et entendre en entrant Cabrel chanter qu'il l'aime à mourir et avoir envie de pleurer en voyant mes épistolaires étalés sur ton tapis, le ballon jaune fièrement dressé au milieu avant que je ne l'envoie en pèlerinage au plafond, et. J'aurais pu rester des heures à trembler là et me réfugier dans la musique mais. Voilà que tu me proposes un cache-cache grandeur nature, comment refuser ? J'ai cru devenir fooooolle, à tourner en rond sans apercevoir ton jupon bleu et puis. Tu étais là, assise toute recroquevillée au bord de l'eau, alors j'ai couru couru couru vers toi, comment j'aurais pu contrôler mes battements de coeur à la chamade sinon ? J'ai couru comme on essaye de s'envoler, j'ai eu les mots coincés dans la gorge et les larmes aux yeux, je n'en revenais pas, alors tu existes, pour de vrai ? Et entendre ta voix, ton rire. C'est tellement facile, de retomber amoureuse de toi. Tellement facile de me dire que tu es chouette-vraiment-chouette au naturel et que c'était du grand n'importe quoi d'avoir peur de te rencontrer. Que nos folies de petites filles ont été mes plus beaux frissons, mais que devenir un peu grandes, et papoter de tout et de rien ensemble, c'est quand même mille dollars.
Tu m'as offert pour mes cinq ans les plus belles couleurs pour illuminer ma Pacôme, et ça c'est le plus chouette cadeau dont je pouvais rêver.
Descendre de l'avion et suivre ton messager au ballon rose étoilé, laisser mon regard se perdre au fil de l'eau, grimper tes escaliers, mourir de trouille devant ta porte et entendre en entrant Cabrel chanter qu'il l'aime à mourir et avoir envie de pleurer en voyant mes épistolaires étalés sur ton tapis, le ballon jaune fièrement dressé au milieu avant que je ne l'envoie en pèlerinage au plafond, et. J'aurais pu rester des heures à trembler là et me réfugier dans la musique mais. Voilà que tu me proposes un cache-cache grandeur nature, comment refuser ? J'ai cru devenir fooooolle, à tourner en rond sans apercevoir ton jupon bleu et puis. Tu étais là, assise toute recroquevillée au bord de l'eau, alors j'ai couru couru couru vers toi, comment j'aurais pu contrôler mes battements de coeur à la chamade sinon ? J'ai couru comme on essaye de s'envoler, j'ai eu les mots coincés dans la gorge et les larmes aux yeux, je n'en revenais pas, alors tu existes, pour de vrai ? Et entendre ta voix, ton rire. C'est tellement facile, de retomber amoureuse de toi. Tellement facile de me dire que tu es chouette-vraiment-chouette au naturel et que c'était du grand n'importe quoi d'avoir peur de te rencontrer. Que nos folies de petites filles ont été mes plus beaux frissons, mais que devenir un peu grandes, et papoter de tout et de rien ensemble, c'est quand même mille dollars.
Tu m'as offert pour mes cinq ans les plus belles couleurs pour illuminer ma Pacôme, et ça c'est le plus chouette cadeau dont je pouvais rêver.
Mercredi 9 juin 2010 à 12:16
Je boucle ma valise et je paillette mon sourire de poudre de Fée, on va jouer aux enfants perdues et essayer de ne pas trop se décrocher le coeur. Est-ce que le ciel aura un autre éclat quand je serai entre tes bras ? Je te connais par coeur et pourtant j'ai tout à découvrir de toi, quatre ans de cache-cache et de surprises, de silences et de folies, de mots à mots dans tous les sens, quatre ans à penser au jour de notre rencontre comme si ça n'arriverait que dans mille éternités, et me voilà. Quelques petites heures à mourir avant de te voir, enfin. Je vais devenir folle. Je meurs de trouille et pourtant, je trépigne d'impatience. Alors c'est pour de vrai tout ça ? A demain, Amour.
Jeudi 3 juin 2010 à 19:03
Après-midi de copinettes à rire et se faire des surprises en terrasse, dévaliser les magasins et mettre un noeud dans les cheveux, du soleil en mille et ton sourire qui me fait l'effet d'un souffle d'air frais, je suis tellement contente de t'avoir retrouvée, ma loute. A nos éclats de rire à venir, je te coeur.
Samedi 15 mai 2010 à 12:17
Ce qui est triste, dans les lettres anonymes, c'est qu'on ne peut pas y répondre. Mais je mène ma petite enquête, demoiselle Cache-Cache, pour vous rendre en mille les sourires que j'ai reçus dans ma boîte aux lettres ! Un jour, vous verrez, je débarquerai en milliers de confettis et des bêtises glissées dans une enveloppe à la hauteur de votre magie.