Lundi 16 mars 2009 à 21:43


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Vendredi d'éclaircie.
Vendredi au goût de Rendez-vous n'importe où, au goût d'éternité.
Une explosion de couleurs sur un quai de gare, un feu d'artifices pour en prendre plein les mirettes pour quelques minutes hors-temps.

Sauter du train, hurler d'hystérie en silence la main devant la bouche, lui sauter au cou, m'évanouir de son parfum,  frissonner de ses éclats de rire qu'elle retient, jouer au roi du silence et la serrer tout contre moi, trembler de sa douceur, poser un baiser sur sa joue paillettée de taches de rousseur, m'arracher à sa merveilleuse étreinte, un dernier regard et grimper dans le wagon, deux sacs à Magie échangés contre un Doudou et des mots d'amour, retrouver ma place malgré mes jambes castagnettes et mourir de ses baisers envoyés du bout des doigts, à travers la vitre.

Vendredi de Magie, au goût d'Impossible-Vrai, d'Arrêt du Coeur Majuscule.

Oh Margot mon Amoureuse, tu es exactement comme je t'aime, un Feu Follet, une Fée, une Evidence. Je suis même pas morte et même je t'aime encore plus qu'avant. Tu me Chambouleverses le coeur tu sais ? Tu m'emmènes toujours valser plus haut que les étoiles, encore et encore. Je n'ai peur de rien avec toi, je t'aime de Certitude.
Je ne me remettrai jamais de toi, JAMAIS.






Par clignotants le Lundi 16 mars 2009 à 23:01
Je ris je rougis je frémis je. Pacôme je rêve de. On est folles tu sais ? Je trouve ça DINGUE de me dire que tu existes pour de vrai, et que ça ne me fait MÊME PAS PEUR. Je sais bien qu'avec toi je n'ai peur de RIEN, et que. Mais là quand même c'était la trouille majuscule, MAJUSCULE, et paf, on vit toujours, on s'aime encore plus, et je souris et je ris et je tremble en pensant au bout de petite fille qui a déboulé de la porte de la voiture 16, Alors c'était toi. TOI TOI TOI. Dingue de chez dingue je te dis. PACOME JE T'AIME.
Par clignotants le Lundi 16 mars 2009 à 23:06
En plus,
maintenant,
depuis quelques jours,
j'ai Rendez-vous n'importe où,
avec moi tout le temps partout,

ce soir je l'ai lu à Marie et à chaque page, à chaque mot, à chacune de nos traductions bancales en sourires, je mourrais d'amour, j'avais les paumes grandes ouvertes contre le papier et c'était comme si je sentais tes respirations me chatouiller les doigts, et je racontais la poésie des Rendez-vous sans lire, je connaissais par coeur encore, ça me venait comme une Evidence,

ce livre me fait mourir d'Evidence,

ce livre me fait mourir de toi.

Tu n'imagines pas le bonheur que j'ai de l'avoir, là, tout près, à portée de main, tout le temps, sans cesse, même ici, à Berlin.
 

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