parfois je me tais.
j'oscille, en équilibre sur la corde sensible.
je m'enroule, je m'emmêle.
les pleins et les déliés d'une indécise pérpétuelle.
pascommelesautres
Le coeur en bandoulière.
Commentaires
Par double-sens le Samedi 17 juin 2006 à 23:51
qui ne s'est jamais tu?...
Par le Dimanche 18 juin 2006 à 10:21
comme j'les aime tes mots, pi de plus en plus dis-donc.
Un jour, je crois, si l'coeur t'en dit aussi, j'te citerais dans ma boîte à mots, magiques.
Un jour, je crois, si l'coeur t'en dit aussi, j'te citerais dans ma boîte à mots, magiques.
Par le Dimanche 18 juin 2006 à 16:06
des mots perdus mais si beaux . je les aime tes mots * en une fraction de seconde mes yeux se sont vidés de larmes . dîtes moi pourquoi je pleure ? je sais pas ='(
Par le Dimanche 18 juin 2006 à 19:14
Même quand tu te tais c'est joli ce que tu dis. Oui je sais que ma phrase n'a pas de sens, mais je m'en fiche parce que Pacôme, elle, j'en suis sûre qu'elle a bien compris.
Par le Samedi 12 août 2006 à 23:30
Han. Je suis une ondulation frissonante. Troisième vague qui me hérisse. Je me remets pas de la force qui émane de tes quelques mots. Je me tortille comme un ver en essayant de lui échapper, mais c'est plus fort que moi : je suis aimantée.
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