" Tu ressembles au naufrage que j'ai fait autrefois, que j'ai fait trop de fois, que j'ai fait avec toi. "
Je sens que je me noie, j'ai besoin de ton souffle pour respirer, et ton corps près du mien quand je me glisse sous les draps. Perdre pied dans la moindre de tes absences, dis quand est-ce que j'apprendrai à vivre loin de toi ? Je veux te laisser couler le long de mon dos et que tu te niches contre mon coeur, je veux ta peau à l'unisson de la mienne, tes doigts qui dessinent des volutes dans le creux de mes reins. Flotter sur un ilôt loin du reste du monde, je veux toi, juste toi, reviens.
En revanche, je passe régulièrement sur ton blog et celui de Louise, depuis bien un an ou deux. Si ce n'est plus . Donc comme j'ai jamais eu l'occasion de te dire que j'aimais bien ce que tu fais, j'en profite .
(Je supporterai mal le commentaire " Génial ce petit endroit. " Même si c'est quand même ça l'idée mot pour mot. ) . Je pense que je devrais m'arrêter là . Ouais .
Là.