Lundi 17 mars 2008 à 23:03
Oh Paris. Ville lumière. Toujours changeante, éternelle. Paris, c'était si beau, si touchant de sincérité, et un Romain Duris merveilleux à tous les égards, encore, vrai, et poignant et. Le coeur à exploser de beauté. On se laisse si facilement porter au détour des immeubles, sur les balcons, à observer les gens, la vie. Voir à travers les yeux d'un hors-la-vie, d'un en-sursis. Voir les choses autrement, se retourner. Ecouter, respirer, ressentir.
Je n'ai pas été déçue une seule seconde. Oh, c'était si doux, ces histoires qui s'entremêlaient alors que je m'entourais d'obscurité, confortablement blottie dans le fauteuil rouge. C'est toujours un moment hors-temps, le cinéma, un moment de poésie.
J'avais tellement envie d'y rester, encore et encore, ne plus repartir, rester là, les yeux grands ouverts pour me gorger d'images, de vécus, d'histoires, de Paris !
Commentaires
Par Bout de lu le Mardi 18 mars 2008 à 15:20
Et si on partait en voyage toute les deux se remplir de lumière et de balcon en fleurs... ce soir??! Sois sympa!!A défaut de Paris on s'enfoncera dans les fauteuils rouges, mais sans pop corn cette fois...
Par Mardi 18 mars 2008 à 18:05
le RRo zut!
Et si on partait en voyage toutes les deux se remplir de lumière et de balcon en fleurs... ce soir??! Sois sympa!!A défaut de Paris on s'enfoncera dans les fauteuils rouges, mais sans pop corn cette fois...
Et si on partait en voyage toutes les deux se remplir de lumière et de balcon en fleurs... ce soir??! Sois sympa!!A défaut de Paris on s'enfoncera dans les fauteuils rouges, mais sans pop corn cette fois...
Par Jeudi 27 mars 2008 à 17:21
le Moi aussi j'étais de ceux qui restent dans la salle durant le générique de fin pour me nourrir le plus longtemps possible de cette atmosphère, de cette histoire...
Par Vendredi 4 avril 2008 à 22:39
le J'AI ADORE! c'était si simple, si sincère, si doux. Il y avait la vie, il y avait la mort, il y avait les rires, les pleurs, le ridicule et la honte, la maladie, l'amour... Il y avait tant de choses simples comme le rire franc entre amis, et le rire faux de la boulangère d'à côté. Il y avait le marché tout simplement avec ses fruits et légumes, mais il y avait aussi le souvenir du premier slow avec LA fille dont on était amoureux au collège, et qu'on a jamais oublié.
C'est le genre de film, dont on oublie qu'il en est un. On pourrait passer la journée entière à regarder ces petites vies sans se lasser. On s'attache mine de rien (pour ma part du moins).
SUPERBE!
C'est le genre de film, dont on oublie qu'il en est un. On pourrait passer la journée entière à regarder ces petites vies sans se lasser. On s'attache mine de rien (pour ma part du moins).
SUPERBE!
Par Dimanche 20 avril 2008 à 14:07
le je ne l'ai pas vu mais j'aurais bien aimé !
Par Mercredi 6 août 2008 à 23:53
le Oh oui ! Blottie dans un siège Vermillon, avec un grand Pop corn formule deux grands pour 7 euros, et puis à boire pour faire une boulettes de pop-corn-Oasis qui descendra plus vite se gluer aux parois de mon estomac ! Oh oui, avec des amies, aller ! On est folle on va voir Paris au cinéma, on s'évapore du monde des Gens-qui-travaillent et on va se frissonner Romain Duris, mais pas n'importe lequel hein ! Non, celui qui mesure 4 mètre de haut en gros plan, celui qui nous ruine de la semaine parce que c'est mes derniers euros du mois et que Maman pense que j' "économise" (quel mot atroce, c'est une sorte de "Grandir" en tenue de Camouflage ça, non?) Et puis Romain il nous plonge là-dedans avec une facilité larmoyante, on vit au rythme de ces bouts de vie, on rencontre des gens, des gens mais des gens, on les reconnaient tous, on les croisent tous. Mais on est trop bête, on est tellement bête qu'on va voire notre boulangère au cinéma (et on repart sans pain !). Et puis, la lumière se rallume (ha oui et on est frustré aussi mais je ne dis rien) et lç on se rend juste compte que l'on doit être rentré au lycée à 18h30 et qu'il est quand même 38... Mais on s'en fiche, on était bien avec eux...
Olala. Pacôme demain je t'écris.
Olala. Pacôme demain je t'écris.
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