Dimanche 12 février 2006 à 21:56
Et pacôme compte les feuilles mortes, comme autant de cadavres sans sépulture.
Commentaires
Par Lundi 13 février 2006 à 11:53
le oui, ca m'rappelle un paresseux qui s'fait écraser par un éléphant !
que dis-je ! un troupeau !
que dis-je ! un troupeau !
Par Vendredi 17 février 2006 à 21:39
le c'est si doux ce que tu écris..
comme le séjour que j'ai passé "là bas", le craquement de la neige, le vent qui frappe les vitres pareil aux vacillement d'un bateau, ahhh merci de tes mots (k)
comme le séjour que j'ai passé "là bas", le craquement de la neige, le vent qui frappe les vitres pareil aux vacillement d'un bateau, ahhh merci de tes mots (k)
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Imagine un paysage, un animal, fais les contours en noirs, et puis change les couleurs, de grands aplats, de toutes les couleurs, et un monde plus qu'imaginaire, tu te rappelles ?