j'me suicide aux m&m's.
avec les cernes en prime sous les yeux.
le tout juste au crayon d'mine.
c'est moche.
pascommelesautres
Le coeur en bandoulière.
Dimanche 9 avril 2006 à 0:41
Commentaires
Par skalope le Dimanche 9 avril 2006 à 0:59
Wahou le courage ! ^^
Par le Dimanche 9 avril 2006 à 9:05
C'est clair, du courage! hé, tu lies ça à la grippe aviaire? (hihihi) (elle gère ta poule ma poule!) (j'suis vraiment trop drôle c'matin...!)
Par le Dimanche 9 avril 2006 à 10:47
Quand je pars dans mes crises de boulimie, et qui sait à quel point elles sont fréquentes, tout y passe. Mais ce choix unique n'est si décevant, je trouve. Tu vois rouge. Puis c'est les pensées noires (d'accord, marrons). Mais le ciel bleu s'installe, le soleil brille jaune et c'est la couleur de l'espoir qui conclue : vert. Tu vois, la philosophie elle est là où on veut l'y mettre. Même dans les M&M's. Et puis tu sais par où commencer quand t'ouvriras un paquet, maintenant. :D
T'embrasse :)
T'embrasse :)
Par le Dimanche 9 avril 2006 à 12:21
Moi je me suiciderais plutôt à la compote de pommes, ou aux schtroumfs ( surtout le grand schtroumf tant qu'à faire voyons les choses en grand). Mais les M&m"s c'est pas mal aussi bisous
Par le Dimanche 9 avril 2006 à 15:14
Si tu savais Pacôme, comment ces jours de detresse je m'arrache de ma torpeur, me fait violence pour essayer de resister à l'appel lancinant du placard... Si tu savais comme j'essaye de lier mes jambes pour les empêcher de courrir à nouveau, si tu savais comme je m'en veux de vouloir manger à ce point. Quand tout va mal, alors plus rien ne compte que de remplir ce vide interieur, combler ce néant avec n'importe quoi, les miettes, les bouts, les parts, les portions, tout. N'importe quoi. Dans ces moments de crises où je ne peux m'empecher de courrir, le coeur au bord des lèvres, les larmes au bord des yeux, je rêve parfois de réussir à me faire vomir. Le dégout de moi-même, la peur, les regrets, les remords me rongent.
Par le Dimanche 9 avril 2006 à 16:18
Et moi les cernes tout le temps, et les mms a du mal, avec l'appareil.
Par le Dimanche 9 avril 2006 à 16:35
Le nombre de fois où de rage, pour anesthésier un malaise, une présence non désirée, un truc qui remuait, une peur incontrolable. Je me vois prendre mon porte-monnaie abeille, comme si de rien, plonger mes doigts frénétiquement à l'intérieur tout en gardant un oeil sur la conversation, me lever, bousculer les chaises de la cafétaria, avancer jusqu'au distributeur, avec un mal de bide horrible. Mettre les sous, prendre le paquet. Avoir envie de l'arracher, de me le vider dans la bouche, d'en finir, d'enfin réussir à respirer normalement. Mais il a fallu que je partage ces billes, ces cacahuètes chocolatées avec leurs yeux inexpressifs, ils me les ont mangé, je leur en ai voulu, ils me les fallaient tous, tous, tous. Je suis sortie de la cafétéria avec trop d'air dans la poitrine, et une furieuse impression d'étouffer.
C'est la première fois que je revis en les écrivant ces moments. C'est dur comme sensation. C'est sa faute, je le hais.
C'est la première fois que je revis en les écrivant ces moments. C'est dur comme sensation. C'est sa faute, je le hais.
Par le Lundi 10 avril 2006 à 17:53
Une overdose de bonbons :p
Par le Lundi 10 avril 2006 à 20:59
Tsss =D
Par le Lundi 10 avril 2006 à 21:18
la ya THE suicide, au moins c'est pas dégueu comme façon mourir
j'admire l'immense bravure d'avalaer autant de m&m's lol
j'admire l'immense bravure d'avalaer autant de m&m's lol
Par le Jeudi 13 avril 2006 à 18:43
il n'y a pas de suicide plus agréable XD
Par le Dimanche 16 avril 2006 à 21:51
dieu que cest bon!
Par le Mercredi 9 août 2006 à 14:50
Han mais moi aussi ! Parce que ma maman, elle a pris un peu des bonbons que les gars emmenaient en colo, et elle les a mis dans un pot vert en verre transparant, tout là haut des étagères à côté de sa collection de pâtes colorées. Et dans le pot, ya plein de m&ms. hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Par le Mercredi 9 août 2006 à 14:52
(han ba merde alors, j'avais pas vu mon commentaire en dessous. faut que je l'imprime. parce ce que cette scène, je l'ai vécu une dizaine de fois dans l'année, et j'ai cru, à chaque fois mourir. c'est quelque chose que je porte en moi, ce malaise parce qu'IL était là. cette scène, elle résume à elle toute seule toute l'année qui vient de s'écouler. promis.)
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