Jeudi 31 août 2006 à 21:46
Ca y est .
C'est le grand départ. Demain matin je prends la route. J'ai peur. Les affaires sont emballées, la moitié est déjà dans une voiture, l'autre attend de remplir la deuxième voiture, j'ai tellement d'affaires que j'ai l'impression que c'est toute une vie que j'emmène. En fait, ce n'est pas une impression. Quand j'ai fait mes cartons, je me suis découverte comme je ne l'avais jamais fait. Il n'y a rien de mieux pour se connaître que de choisir les affaires qui nous sont indispensables, pour être bien. C'est toute ma vie que j'emmène avec moi. Ou presque.
J'ai peur. Vraiment. On le saura. J'ai les jambes, les bras, les doigts, et même le coeur qui tremble.
Ca devient trop difficile d'écrire ici. De vous faire mes adieux, comme si je n'allais jamais reposter, n'importe quoi.
En tout cas, je vous dis à bientôt, et je vous pacôte de toutes mes forces. J'arrête là ou je vais me mettre à pleurer devant mon écran, et quoi de plus pathétique.
Je vous aime. Grand comme ça.
Commentaires
Par Jeudi 31 août 2006 à 23:41
le Juste <3
Par Vendredi 1er septembre 2006 à 8:30
le Courage pour cette epreuve difficile, le debut est toujours difficile, pour ceux qui partent et ceux qui restent. Tu vas surement vivre des choses merveilleuses à Roubaix, ce destin dont tu revais. Tu quittes le cocon familial cest vrai, mais en pensant à eux, tu auras cette force, ce courage dont tu as besoin.
C'est certes une autre vie que tu quittes, mais cest une autre qui commence. Mais dis toi que toutes ces choses geniales que tu as vecues dans la premiere, ne seront que meilleures dans la deuxieme.
Jt'embrasse
(l)
C'est certes une autre vie que tu quittes, mais cest une autre qui commence. Mais dis toi que toutes ces choses geniales que tu as vecues dans la premiere, ne seront que meilleures dans la deuxieme.
Jt'embrasse
(l)
Par Vendredi 1er septembre 2006 à 9:51
le Oh ma si douce.
Je sais pas quoi te dire, ou plutôt si, je sais quoi te dire... mais j'ai tellement peur de tomber à côté.
Oh ma tendre amie.
Je t'aime tu sais, j'espère le mieux pour toi. Tu l'mérite. tu l'mérite vraiment... je t'aime avec un grand soleil tout jaune, avec des rayons oranges et ce soleil c'est toi. (L) tu brilles ma douce, tu brilles.
Je sais pas quoi te dire, ou plutôt si, je sais quoi te dire... mais j'ai tellement peur de tomber à côté.
Oh ma tendre amie.
Je t'aime tu sais, j'espère le mieux pour toi. Tu l'mérite. tu l'mérite vraiment... je t'aime avec un grand soleil tout jaune, avec des rayons oranges et ce soleil c'est toi. (L) tu brilles ma douce, tu brilles.
Par Vendredi 1er septembre 2006 à 10:41
le Comme ça m'fait bizarre de vous voir toutes les deux, là, toi et Marie, partir comme ça.
Et puis moi, là, qui reste, qui vous regarde partir, qui vous soutient, qui vous aime.
Moi qui voudrais être tout prêt, comme si j'avais peur de vous voir loin de moi...
Et puis c'est comme une deuxième séparation, comme l'année dernière, plus vous croiser dans le lycée, plus vous voir passer, de loin, plus vous voir briller.
Embrillez Roubaix.
Et puis moi, là, qui reste, qui vous regarde partir, qui vous soutient, qui vous aime.
Moi qui voudrais être tout prêt, comme si j'avais peur de vous voir loin de moi...
Et puis c'est comme une deuxième séparation, comme l'année dernière, plus vous croiser dans le lycée, plus vous voir passer, de loin, plus vous voir briller.
Embrillez Roubaix.
Par Vendredi 1er septembre 2006 à 11:26
le Han, Pacôme. Bonne chance. Je ne sais que te dire de plus. Oui, bonne chance.
Par Vendredi 1er septembre 2006 à 18:31
le Je ne dirais rien. Tu sais déjà tout c'que je pense.
Par Dimanche 3 septembre 2006 à 22:19
le Bonne chance !
Par Lundi 4 septembre 2006 à 2:05
le T inquiete "nous" aussi on t'aime. Et tu verras le déménagement le changement ca fait grandir ca fait flipper ca fait changer. C'est awah
Par Lundi 4 septembre 2006 à 19:18
le Avant, ton absence ne me perturbait pas. Tu déménages, et tu reviens un peu plus tard, normal. Mais aujourd'hui, tu t'es nichée dans mes tripes et ça tournicote là dedans je te raconte pas. J'arrête pas de venir là, encore et encore, juste à cas où, juste si, mais non, invariablement ce même "ça y est" et cette tension dans ma nuque perdure, et mon ventre on dirait du béton tellement il est contracté, et j'arrive même pas à t'écrire, et je me sens seule, démunie, abandonnée. J'arrive même pas à t'écrire un sms. Même pas. Je voudrais tellement que la poste soit un éclair, que tu reçoives ça immédiatement, sur-le-champ, c'est atroce. Et la rentrée qui va nous éloigner, m'en fous, je chialerais s'il le faut pour obtenir un peu de crédit et te visiter, j'm'en tape, ma mère a assez entendu parler de toi pendant 2 mois, elle a pas le droit d'me faire ça. Han Pacôme, Pacôme, je suis toute tremblotante de fièvre, je sais il faut tenir bon, mais envoies-moi un peu de ton soleil, (...). Tu dois te sentir seule là-bas, seule et perdue, avec l'impression de sauter de l'autre côté d'une crevasse sans filon de sécurité. mais bouge pas, je t'envoies un rendez-vous.
Par Jeudi 7 septembre 2006 à 19:29
le Hey bah non, toujours rien. Chaque jour, je passe ici, mais jamais de changement, toujours Pacôme qui nous glisse entre les doigts. J'me fais souffrir à passer ici, j'suis qu'une sado-maso.
Je ne pense qu'à toi, c'est une cata. J'te prépare un petit quelque chose, j'espère que ça sera fini à temps, le plus vite possible.
Je t'embrasse. Je t'aime.
Je ne pense qu'à toi, c'est une cata. J'te prépare un petit quelque chose, j'espère que ça sera fini à temps, le plus vite possible.
Je t'embrasse. Je t'aime.
Par Samedi 23 septembre 2006 à 21:29
le Dis, tu reviens quand ?
tu me manques
(l)
tu me manques
(l)
Par Mercredi 27 septembre 2006 à 20:43
le C'est plus possible. Je me MORFONDS. MAIS QUAND REVIENS-TUUUUU ?
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jte souhaite tout plein de courage etr eussite ! XD