Lundi 13 février 2006 à 12:31





au fait, maman est guérie !
il suffit d'y croire
il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire il suffit d'y croire ...
pour de bon.
après la tempête, la houle la fait voguer doucement vers la lumière.



Dimanche 12 février 2006 à 21:56





Et pacôme compte les feuilles mortes, comme autant de cadavres sans sépulture.




Mercredi 8 février 2006 à 19:02


 


 


 

c'est comme se perdre dans l'immensité du ciel .


                                               et attrapper des ailes, par hasard .



 


 


 


 


 


 

Lundi 23 janvier 2006 à 19:47




Lorsque mes paroles étaient révolutions
j'étais l'ami des séismes.


Mahmoud Darwich, Rien qu'une autre année.



pacôme a envie de partager avec vous les mots incomparables qui déroulent leurs lettres dans les bouquins de la Comédie, sur les bus de la ville, et sur les trottoirs et le pont derrière le jardin, au dessus du canal.

une scène nationale qui se démarque par
ses écrits colorés et très simples, qui accrochent le lecteur-spectateur
à tout moment.

ahh, quand il y a quelque chose qui vaut le coup d'être montré par chez elle, pacôme n'hésite pas une seconde.


[ images à venir très vite ]


Vendredi 20 janvier 2006 à 17:10


pacôme en est tombée amoureuse ...
les Serpents d'eau II
   




[ Klimt ] " Dans ses tableaux, la nudité et la sexualite sont couvertes, comme emprisonnées dans des ornements et des tissus, cependant partiellement révélées, laissant libre cours aux tentations "


pacôme a eu un bouquin pour Noël, et elle ne se lasse pas de le feuilleter, c'est l'émotion à chaque page.
elle a eu un véritable coup de coeur pour cet artiste, c'est comme si elle avait trouvé quelque chose qu'elle cherche depuis toujours.


rien de plus beau qu'une toile ou une esquisse de Gustave.


ces dorés, ces rouges, ces ocres et orangés;
ces corps
fragiles et maigres, si émouvants;
ces motifs par centaines,
ces courbes douces ...


10 ans de sa vie pour les voir de ses propres yeux.
et dire qu'elle a raté l'exposition Vienne 1900 !


misère de misère, la voilà prise d'une de ses envies de peindre ... alors qu'elle a tant d'autres chose à faire, avant.


pas de panique, pacôme, prend le temps de réfléchir ...
bon, c'est vrai, t'as du boulot.
d'accord, demain tu vas faire les soldes.
ok, t'as un Ds de maths.
mais boudiou, il te faut pas une pièce personnelle pour ton book ? si ? alors !


c'est décidé, pacôme, attrappe tes pinceaux, vire ton bazar, prend ta plus grande toile et peint !
peint autant que tu peux !


si elle pouvait ne plus jamais s'arrêter de peindre ...


pacôme vous laisse pour laisser cours à sa peinture, elle cours s'imprégner de l'exceptionnelle merveille qu'est l'oeuvre de Gustave, et elle va peindre.
enfin.
il y a si longtemps !


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