Jeudi 27 mars 2008 à 23:46
17 mars 2008
La dernière fois il y avait ce petit garçon qui s'agrippait à "La Nuit des Zéfirottes" avec des feux d'artifices dans les yeux, pendant que je serrais contre mon coeur "La Tempête". Il était à croquer, ne lâchait plus son immense livre, pas d'un millimètre d'ongle, il a ouvert la bouche et il s'est écrié :
"Maman, on en prend un pour Pacôme !"
Si j'avais eu cinq ans, je serai tombée amoureuse de lui en une seconde.
La dernière fois, au détour du rayon des livres pour enfants, j'ai rencontré un Enfant des Fées et mon coeur s'est envolé.
Mardi 25 mars 2008 à 21:02
J'ai reçu une lettre de l'INPI, j'ai reçu une lettre de l'INPI !
Ils ont piqué tous mes sous mais NORMALEMENT c'est POUR DE VRAI que pacôme : les autres est protégée, à moi, la mienne pendant dix ans et que je mords tous ceux qui essaieront de me la piquer.
Ils me devront des sous d'abord.
BONDIEU PACÔME : LES AUTRES EST A MOI !
Vous y croyez, vous ? La tonne de cookies vendus sur la voie publique, des sourires et des gens merveilleux et HOP !
Merci, mille fois.
Mardi 18 mars 2008 à 18:06
Enfin, La Consolante dans mon cartable à grelots. Enfin.
Des mots pour me bercer le soir.
J'aurais eu des sous j'aurais dévalisé la librairie, j'ai vu des tonnes de bouquins qui m'appelaient littéralement, je.
J'ai réussi à ne pas craquer.
Ce soir, cinéma avec Lucette, Soyez sympas rembobinez, tarte à la tomate en rentrant, et La Consolante, bien sûr.
Lundi 17 mars 2008 à 23:03
Oh Paris. Ville lumière. Toujours changeante, éternelle. Paris, c'était si beau, si touchant de sincérité, et un Romain Duris merveilleux à tous les égards, encore, vrai, et poignant et. Le coeur à exploser de beauté. On se laisse si facilement porter au détour des immeubles, sur les balcons, à observer les gens, la vie. Voir à travers les yeux d'un hors-la-vie, d'un en-sursis. Voir les choses autrement, se retourner. Ecouter, respirer, ressentir.
Je n'ai pas été déçue une seule seconde. Oh, c'était si doux, ces histoires qui s'entremêlaient alors que je m'entourais d'obscurité, confortablement blottie dans le fauteuil rouge. C'est toujours un moment hors-temps, le cinéma, un moment de poésie.
J'avais tellement envie d'y rester, encore et encore, ne plus repartir, rester là, les yeux grands ouverts pour me gorger d'images, de vécus, d'histoires, de Paris !
Mardi 11 mars 2008 à 19:39
Est-ce que je vous ai raconté que Boubou a comploté avec les coloc's d'amour pour me bidouiller une soirée d'anniversaire surprise ? Samedi soir ? Avec des bonbons, des bougies et . Même que tout le monde était dans le coup depuis des lustres, et tout le monde à d'ailleurs beaucoup ri de ma crédulité. Si les surprises dansaient toutes nues devant mon nez je les verrai même pas. Boubou, donc, était dans la confidence et m'a traînée partout samedi toute la journée pour m'empêcher de rentrer à la maison. Et quand on a finit par arriver (en retard) il y avait de la musique, fort, une espèce de rock des années cinquante. Et voilà que je me dandine dans le couloir en enlevant mes chaussures, le rythme dans la peau évidemment, et voilà que Boubou râle et souffle et rouspète parce-que je ne vais pas assez vite !
Qu'est-ce qui lui prend, je me dis ? Ohlala. Bon. Du coup, obligée de migrer vers l'Atelier, déposer mes affaires, et puis, bon, la musique vient du salon, alors moi je pousse la porte, par curiosité, et pour dire coucou aux coloc's. Et là, SURPRISE ! "Bon Anniversaire !", que ça crie dans tous les coins ! HANLALA. J'ai sauté dans tous les sens d'hystérie et j'ai collé un gros bisou à Krystell, Lucette, Stef, Lucile, Mélissa, Estelle, Vincent, Brendachou et Célinou, et Boubou qui se marrait derrière moi, et tout plein de bonnes choses sur la table du salon, des dragibus qui me faisaient les yeux doux et surtout des roses des sables et du fondant au chocolat et . La folie des spaghettis je vous dis. Sans rire, j'étais tout bête, à avoir l'impression que c'était pas pour moi, cette surprise, tellement c'était la folie.
Et puis, Lucette avait mis une superbe robe Sandro et Célinou était sexy chérie avec sa minirobe et Krystell qui filmait tout le monde en faisant des plans expérimentaux et.
Et PAF ! Un paquet cadeau qui me tombe entre les mains, j'ouvre et je vois le superbe cartable Petit Pan de Mes Habits Chéris que je craque dessus depuis des lustres. Même qu'il a des jolis grelots qui tintinambulent !
Y'a pas, j'ai vraiment trop des chouettes copines d'amour.