Lundi 25 août 2008 à 23:02
Bon vent, mon Amoureuse. A toi Berlin, à toi les Rencontres Majuscules, à toi les nouvelles couleurs du ciel et la Liberté. Je suis dans chacun de tes pas, je t'accompagne, où que tu ailles, je parsème ton chemin d'étoiles et je veille sur tes sommeils. Je te souffle un pluie d'étincelles, de la poudre de Fée, des baisers-magie pour illuminer tes paupières.
Je t'aime d'Impossible-Vrai, par delà les frontières. Bon voyage, ma Louise.
Vendredi 22 août 2008 à 13:07
Je n'ai plus de souffles ni de mots pour te dire comme tu es Merveilleuse et comme ta présence ici est encore diffuse, comme j'ai l'impression que tu ne me quittes pas une seconde, et comme tu m'as fait voler en éclats. Je. Je ne veux plus partir, je voudrais rester ici dans les miettes des sourires que tu m'as laisser, des miettes d'éternité. Tu es la plus Folle rencontre de ma vie, je ne me remettrai jamais de toi, jamais. C'est si doux de te connaître. Je crois que je vais te préparer de l'Amour d'épistolaire direction l'Allemagne, parce que je ne veux pas attendre pour t'aimer, même à ta nouvelle adresse, à ta nouvelle vie.
Mardi 19 août 2008 à 22:50
Mardi 19 août 2008 à 22:41
En ce moment, il y a mon Amoureuse assise en culotte sur ma chaise de bureau, chez moi, à l'Appartement-Merveille. Je sais, c'est juste un tout petit peu de l'Impossible-Vrai et je suis pas en train de mourir sur mon canapé, nonon.
Rendez-vous, n'importe où, tant qu'on continue de s'aimer au delà de tout et qu'on fabrique des ailes Gigantesques à nos rêves de Pas-Grandir, des rêves de Géantes-Minuscules en éclats de rire et de couleurs, des rêves pour respirer, pour tomber dans l'immensité du Ciel, pour Vivre, tout bêtement.
Margot Margot Margot. Trois fois parce qu'on sait pourquoi. Une Folie des Spaghettis pour te dire comme je t'aime, que les frontières allemandes ne me font même pas peur, que j'ai de l'amour d'épistolaire à revendre pour ta nouvelle adresse que je finirai par savoir par coeur, j'ai peur de rien avec toi.